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Pour défendre les femmes, nous devons être entendues par le plus de monde possible. En tant que réseau international, nous avons accès à des informations réunies par nos clubs sur le terrain. Cela signifie que nous avons une position unique et puissante ainsi qu’une perspective sur les problèmes auxquels les femmes sont confrontées et les meilleures actions à mettre en œuvre, qui intéresse des organisations extrêmement réputées. En conséquence, l’opportunité nous est souvent offerte de faire entendre nos voix et celles des femmes que nous défendons.

 

Je suis Gertrud Åström, l’une des trois Représentantes du SIE, et je représente notre organisation auprès du Lobby européen des femmes (LEF). Le Lobby européen des femmes a été créé il y a 30 ans en réponse à une conscience croissante du besoin de défendre les intérêts des femmes au niveau européen. Il s’agit du plus grand réseau d’associations de femmes en Europe (il en compte plus de 2 000) et le SIE en est un membre important. Via le LEF, le SIE peut toucher des milliers des femmes et appeler à l’action et à la solidarité.

 

En tant que Représentante du SIE auprès du LEF, je travaille au sein du mouvement des femmes, en coopérant avec d’autres organisations pour améliorer la vie des femmes. Récemment, mes activités ont été centrées sur la situation en Ukraine. Les déclarations du SIE sur l’Ukraine ont été bien reçues et rapidement publiées sur le site Web du LEF et dans les informations aux membres. Nos messages ont été largement diffusés et même cités par des organisations de femmes et des institutions officielles, comme l’Agence suédoise pour l’égalité des sexes. Nos initiatives en faveur des femmes en zone de guerre ont également attiré l’attention et suscité le soutien d’organisations internationales, grâce à l’implication de nos clubs sur le terrain.

 

 

La structure du SIE, dont les clubs mènent des projets à bien sur le terrain, donne à notre organisation l’accès à des données et sentiments réels. Nous les partageons avec des organismes internationaux comme le Lobby européen des femmes, l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) et le Conseil de l’Europe, où Dora Vrdlovec et moi-même représentons le SIE. Dans certains cas, les informations concrètes que nous partageons sont utilisées dans le cadre de politiques, comme actuellement au LEF. Les points que j’ai évoqués nourriront le travail en cours du LEF sur la proposition de l’UE pour une directive sur la violence à l’égard des femmes.

 

Le partage d’informations est mutuel. En participant au travail de ces grandes organisations, nous réunissons des informations et des sources d’inspiration, et nous communiquons ce que nous apprenons au SIE.

 

Nous coopérons et nous discutons de manières de travailler dans le cadre de l’ODS 1, Lobbying et Programme. Par exemple, en février, la Directrice de Programme du SIE Sandra Gonzalez Sköld a été invitée à venir dans mon club de Stockholm City avec la Première présidente adjointe du Parlement suédois, Åsa Lindestam. Elles ont parlé avec les membres du club de sujets tels que l’autonomisation des femmes, la violence à l’égard des femmes et les femmes en zones de guerre.

 

De gauche à droite : Sandra Gonzalez Sköld (Directrice de Programme du SIE), Åsa Lindestam (Première présidente adjointe du Parlement suédois), Gertrud Åström (Représentante du SIE auprès du LEF)

 

 

Les actions de nos membres, qui mettent en œuvre notre devise « We stand up for women », ont donné au SIE une voix puissante écoutée à l’échelle internationale.

 

Gertrud Åström, pour l’ODS 1

Représentante du SIE auprès du Lobby européen des femmes (LEF)


 

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